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Note n°238 par phimosisrme le 25/02/2013 • 02:31 
malheureusement trop fréquentes chez les ouvriers employés à la fabrication des poudres fulminantes, du phosphore, chez les enfants ,

Note n°236 par Tempratur le 23/02/2013 • 07:40 
Pour préparer les noyaux en sable, il faut pour chaque calibre trois parties de boîte en cuivre tournées intérieurement. Les deux premières parties comprennent chacune la moitié du noyau, suivant la section par l'axe de l'arbre, jusqu'à l'endroit où commence le culot du projectile, ces deux demi-boites aet b,fig. 2, s'assemblent par gorge et feuillure, c,et portent à leur partie inférieure aux rebords dont les deux plans coïncident lorsqu'on assemble la boîte et forment un collet renfermant un creux conique des dimensions de l'arbre de noyau, et dirigé suivant l'axe de la boîte. Cette ouverture est destinée à recevoir l'arbre du noyau quand on a réuni les demiboîtes; ces dernières laissent à la partie supérieure une ouverture circulaire, portant la feuillure qui doit recevoir la gorge de la calotte fig. 1. Cette calotte est tournée intérieurement suivant la surface du culot du projectile; de manière que les trois parties de la boîte étant réunies, comprennent intérieurement la forme et les dimensions du noyau à faire.
Pour préparer les noyaux en sable, on se sert des mêmes arbres àévents décrits pour les noyaux en terre; mais dans ce cas-ci, on les entoure de préférence de paille; d'un côté, parce que cela peut se faire d'une manière expéditive, à cause de la longueur des brins, et d'un autre côté, parce que les brins de paille livrent facilement passage aux gaz qui doivent sortir du noyau. Pour favoriser encore ce dégagement, on moule deux évents dans ce dernier, au moyen de fils de fer; l'un de ces évents est visible dans la coupe en l,fig. 3; ils doivent commencer à la paille de l'arbre du noyau, et se terminer aux ouvertures odes demi-boites assemblées aet b,fig. 2. Par là les gaz et les vapeurs qui, lors de la coulée se développent des parties aqueuses du noyau, par suite de la haute température de la fonte liquéfiée remontent et entrent par les ouvertures odans le moule, d'où elles s'échappent par les évents.
Vu que ces noyaux en sable ne se contractent presque pas, tandis que ceux en terre, quelque soin qu'on prenne d'en garnir l'arbre de beaucoup de foin le font toujours, il n'est pas nécessaire de tourner la paille à une aussi grande épaisseur sur les premiers; mais pour empêcher qu'elle ne se déplace, et ne permette au noyau de glisser sur l'arbre, on passe à travers la mortaise de l'arbre, la petite cheville en boisjo, fig. 3, et on la fixe, ainsi que la paille, au moyen d'un bout de ficelle. La chevillette en bois est préférable à la broche en fer pour les noyaux en sable, parce qu'elle casse facilement lorsqu'on démoule les projectiles et quand elle n'est pas déjà brûlée.
On place l'arbre ainsi enveloppé, entre les deux demi-boîtes aet b,de manière que son bourrelet, ou la partie immédiatement au-dessous de la tige enveloppée de paille, soit embrassé par les deux parties de l'ouverture conique des demi-boîtes. Ces dernières étant bien réunies au moyen de leur gorge et feuillure, on place le globe qui en résulte entre deux pièces de bois hh,creusées à cet effet, l'arbre étant dans la position verticale, fig. 3. Ces pièces restent solidement assemblées par des cylindres en bois à clavettes, pendant qu'on moule le noyau en remplissant et damant.
Pour exécuter cela convenablement, on place ces pièces de bois ainsi réunies avec la boite qu'elles renferment, sur une caisse ou banc e,fig. 3, dans laquelle se trouve un trou pour recevoir la queue de l'arbre qui dépasse les premières, afin que ce dernier repose sur le fond par sa partie inférieure, et ne se dérange pas de sa position.
Comme les noyaux en sable ne doivent être que légèrement séchés, on se sert pour les préparer de la deuxième espèce de sable mentionnée plus haut; on n'en met d'abord qu'une petite quantité
dans la boite; on l'égalise avec la main, et on la dame avec une petite batte, surtout contre la paille de la partie inférieure de la tige de l'arbre de noyau; on met ensuite une deuxième, puis une troisième couche et ainsi de suite, en damant chaque fois, jusqu'à ce qu'on ait atteint la hauteur du petit trou o,dans les demi-boites réunies, par lequel on enfonce alors le fil de fer, déjà mentionné obliquement de haut en bas, jusqu'à ce qu'il rencontre la paille qui entoure l'arbre de noyau ; cela fait, on remplit la boîte au niveau du bord. On met là-dessusla quantité desable qu'on croit nécessaire pour former la partie restante du noyau, et on lui donne une forme convexe en le comprimant avec les mains, de manière, cependant, que la surface en soit plus élevée, qu'elle ne doit le devenir définitivement. Pour lui donner la forme voulue, on la recouvre de la troisième partie de la boîte, qui est la calotte. On place cette dernière, la surface concave en bas, sur la surface convexe

Note n°235 par Great_wine_site le 22/02/2013 • 12:57 
Super site j'adore !

Note n°233 par conserve le 21/02/2013 • 08:23
  http://www.morbide.trouduc/ 
S'il se place en dehors, l'ombre lui paraît plus large en dedans, et vice versd. En général, quand le cercle noir est formé par la circonférence de la pupille, celle-ci est peu mobile , parce que l'iris , poussé en avant par une cataracte volumineuse,  n'est pas bien libre dans ses mouvements. Cette ouverture est, au contraire, très mobile quand le cercle est formé par l'ombre de l'iris, parce que la cataracte, située â une certaine distance de l'iris, n'exerce aucune compression sur cette membrane. C'est peu d'avoir reconnu l'existence d'une cataracte, il faut encore savoir distinguer les diverses espèces et variétés de cette maladie. Je vais donc exposer leurs caractères particuliers.Cataracte lenticulaire. On l'observe principalement chez les vieillards ;   elle commence par le centre du cristallin, d'où elle s'étend insensiblement vers sa surface; sa"couleur varie du blanc au gris, au jaune ambré, au vert, au brun, au noir même. Elle présente une teinte uniforme ou perdant insensiblement de son intensité du centre à la circonférence. Elle. nbsp;est terne , mate , sans reflets métalliques, sans stries ni points blanchâtres. Elle est ordinairement séparée par un intervalle manifeste de la pupille, dont les mouvements restent libres. L'ombre de l'iris forme sur sa surface un cercle noirâtre. .

Note n°232 par thomas le 20/02/2013 • 14:28
  http://www.des-secret.com/ 
Comment faire pour garder son iphone plus longtemps ? réponse se procurer une coque sur touchmods biensur ;)

Note n°231 par thomas le 20/02/2013 • 14:10
  http://secret-or.com/ 
Trés joli site, c'est vrai !

Note n°230 par Bheneauic le 20/02/2013 • 09:55
  http://www.regime-sante.com/ 
Quand la coulée a eu lieu on laisse écouler la fonte qui est au fond de la cuvette, par une ouverture pratiquée à cet effet dans ses parois, mais qui avait été bouchée avec du sable; on la reçoit dans une rigole préparée ou bien dans une poche, pour l'employer à d'autres fins, ou bien pour la verser dans le moule dont la masselotte ne serait pas complète. Avant de couler on passe sur les chéneaux en sable ainsi que sur ceux en argile et sur la cuvette, l'enduit fort déjà mentionné, et on les chauffe autant que possible au moyen de charbons de bois ardents; et comme ces chéneaux seraient endommagés si le laitier sortant le dernier du fourneau pouvait y entrer, on a laissé entre eux et le côté extérieur de l'œil une ouverture de la largeur de 0m,20, où la paroi du chenal en argile ou en briques est continuée en sable; quand le laitier se présente, on intercepte l'ouverture du canal en briques ou en argile,au moyen d'une pale en fer, et on le fait écouler par les côtés, ce qu'on obtient en renversant la paroi en sable.
Enfin les pales en fer précitées (qui sont inunies de manches à leur partie supérieure) sont chassées transversalement dans le sable des chéneaux, entre le canal transversal ou la cuvette et les augets, jusqu'à la distance de 0m,01 du fond, afin de laisser écouler la fonte pardessous, soit pour diminuer l'affluence trop considérable de celle-ci vers le moule, soit pour arrêter les laitiers flottant à sa surface; c'est pourquoi l'on met encore une petite botte de foin mouillé contre ces pales du côté du fourneau.
Quand on ne coule qu'une bouche à feu sans bassin de rassemblement , il est nécessaire, pour le même motif, d'enfoncer une pale au milieu du chenal, et de placer devant elle une petite botte de foin humide. Quand on coulera plus d'une bouche à feu au moyen d'une cuvette de rassemblement, elles devront l'être l'une après l'autre, et il faut alors intercepter tous les chéneaux, excepté celui de la bouche à feu par laquelle on veut commencer; pour exécuter cette interception, on place près de chacune des autres pales une personne avec une pale plus petite, afin de tenir cette dernière contre l'ouverture sous la grande, pour que la fonte ne puisse pas percer, et quand le moule de la première pièce est rempli jusqu'à la hauteur requise de la masselotte, on arrête de suite l'écoulement vers ce moule en enfonçant jusqu'au fond la grande pale correspondante, par un coup donné sur son bord supérieur. Cela fait, la personne qui tient la petite pale dans le chenal de la bouche à feu qu'on veut couler ensuite, enlève cet obstacle, afin de laisser couler la fonte par-dessous la grande pale vers le moule, et l'on continue à faire comme il a été dit pour la première bouche à feu.
En enfonçant les grands pales, il est nécessaire de veiller à ce qu'il ne se forme pas de crevasse dans les bords latéraux du chenal,parce que la fonte liquide, en y pénétrant, pourrait, par le contact du sable humide, bouillonner, jaillir et blesser les ouvriers.
Comme il peut arriver qu'il reste un peu de fonte après le coulage, on fait toujours dans le sable à côté du chenal ou de la cuvette, une rigole qui est damée au fond et sur les côtés de même que les chéneaux, et qu'on saupoudre de charbon de bois pour y laisser écouler le restant de la fonte. Cette rigole peut encore devenir utile dans le cas où, en débouchant l'œil, on l'aurait trop ouvert, ce qui produirait une afiluence de fonte trop considérable; alors on laisse écouler le métal superflu dans cette rigole, à travers un petit canal et ensoulevant une pale par laquelle il est retenu; ou bien encore, en perçant seulement au moyen d'un ringard à pointe rougie, la paroi de sable qui se trouve entre la rigole et le chenal. Quand maintenant, à cause de cette abduction de la fonte dans la rigole, le dernier moule n'est pas rempli entièrement, on puise ans cette rigole avec des poches pour verser dans le moule non rempli.Enfin on tient prêtes, pour chaque bouche à feu, deux petites palettes en fer forgé à manche recourbé, couvertes sur les deux faces d'une couche d'argile séchée, qui doivent servir à retenir les laitiers et quelquefois la fonte.Tout étant préparé de la manière prescrite, et la fonte étant bien fondue dans le fourneau, on peut passer au coulage.A cette fin on fait avec précaution, dans le sable avec lequel l'œil est bouché, une ouverture circulaire au moyen d'un ringard; cette ouverture doit avoir environ 5 à 6 centimètres de diamètre, mais ne doit pas traverser toute l'épaisseur du sable; elle doit s'arrêter à la croûte de ce dernier, cuite parla chaleur intérieure du fournea

Note n°229 par ici le 18/02/2013 • 13:11 
Super site moi aussi j'adore !

Note n°228 par devis_rnovation le 17/02/2013 • 12:33 
Super site j'adore !

Note n°227 par tarif_referencement le 04/02/2013 • 19:41
  http://referencement.de-site-internet.com/tarif-de-referencement-de-site-interne 
Toutes mes félicitations pour ce site.
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