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Guestbook
Note #248 |
by
Oraclesert
11/03/2013 • 10:58
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Cependant quand cela fut fait, il est dit, ,savoir,pour un plus grand nombre de personnes, qui doivent un jour embrasser
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Note #247 |
by
caline
11/03/2013 • 04:07
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C'est à la fausse péripneumonie qu'il faut sans doute appliquer les réflexions suivantes de M. Laennec : ? Il est quelques cas où la ?saignée est évidemment contre-indiquée, ou au moins dans ?lesquels on ne peut tirer que très peu de sang et une ou ? deux fois tout au plus: telles sont les pneumonies des vieil? lards cachectiques, celles qui compliquent une maladie dans ? laquelle les signes d'une altération septique des liquides sont ? manifestes, telles que les fièvres continues graves, dites putrides ? ou adynamiques, et le scorbut. ?J'ai surtout expérimenté les émissions sanguines dans les péripneumonies dites fausses qui accompagnent les fièvres èruptives , et j'avoue qu'elles ne se sont pas montrées aussi héro?ques dans cette espèce que dans celle dont il a été question dans le § Ier. Il ne faut pas d'ailleurs oublier que , dans les cas dont il s'agit, la pneumonie n'est, pour ainsi dire, qu'un accident ou du moins qu'un des élémens de la maladie complexe que l'on a à combattre, et qui reconna?t'pour cause un agent spécifique. Que si donc les émissions sanguines ne triomphent pas aussi facilement ici que dans les cas de pneumonie normale c'est que l'élément péripneumonique n'est pas toute la maladie; c'est qu'il se trouve combiné avec d'autres élémens morbides, avec une infection, une sorte d'empoisonnement du sang , par exemple, contre lesquels les émissions sanguines ont moins de prise ; c'est que surtout nous n'avons pas le moyen de neutraliser la cause spécifique des effets que nous observons , et qui doivent persister jusqu'à l'extinction de cette cause.Je terminerai cet article, l'un des points les plus délicats de la pratique , en déclarant que, dans les cas signalés ici, nous avons plus spécialement insisté sur les émissions sanguines locales (ventouses scarifiées, sangsues sur la poitrine ), et que la persévérance avec laquelle nous les avons répétées a été couronnée de succès dans des cas où tout espoir semblait perdu. Tout récemment encore, nous sommes venu à bout, par cette méthode, d'une pneumonie probablement lobulaire ou disséminée, que presque tous les assistans avaient jugée mortelle, et qui existait chez un jeune homme de dix-sept à dix-huit ans, affecté d'une rougeole des plus graves que l'on puisse rencontrer. Lorsque ces espèces depéripneumonies n'entra?nent pas rapidement la mortj, mais qu'elles passent à l'étatcb.ro.T nique elles donnent ordinairement lieu à la phthisie dite granuleuse. Si l'espace nous le permettait, nous pourrions examiner maintenant jusqu'à quel point est applicable à la pneumonie ce qu'ont dit certains auteurs de l'influence qu'exercent les constitutions médicales sur les maladies épidémiques en général. Nous ferons seulement remarquer que la pneumonie se montre rarement sous la forme épidémique, en prenant ce dernier mot dans l'acception qu'il a re?ue de Sydenham. Par conséquent on aurait tort d'étendre rigoureusement à cette maladie, considérée d'une manière générale, les théories que divers médecins ont proposées sur les différences qu'une seule et même maladie épidémique peut otrir, selon qu'elle règne sous telle ou telle constitution médicale, différences si grandes au sentiment de Sydenham, que la même méthode par l'emploi de laquelle on aura guéri les malades l'année présente, sera peut-être mortelle l'année suivante. Sydenham ajoute méme qu'alors, malgré tous ses efforts, un ou deux de ceux qui se confient les premiers à ses soins, courent grand risque de perdre la vie, jusqu'à ce qu'il soit parvenu à saisir le génie de la maladie, et qu'il puisse procéder avec assurance et d'un pied ferme à son extermination. Au reste, nous croyons que, même en ce qui concerne les maladies épidémiques proprement dites, on a réellement un peu exagéré l'influence des constitutions médicales, et ce ne serait pas sans de graves inconvéniens qu'on ajouterait foi à tout ce qui a été écrit sur cette sorte de mystère médical. (Voyez l'article ConstituTions Ménicales).
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Note #246 |
by
meilleurs_voyants
07/03/2013 • 23:38
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Félicitation pour votre site ! merci à toutes l'équipe !
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Note #245 |
by
chat
05/03/2013 • 23:10
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Bravo pour ce site
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Note #244 |
by
iphone_5
03/03/2013 • 10:20
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Super votre site j'adore !
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Note #242 |
by
donneraitnt
28/02/2013 • 04:23
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Ici on se rappellera ce que j'ai déjà dit dans mon premier volume
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Note #241 |
by
Avecdistinct
28/02/2013 • 04:22
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II ne fut pas plûtôt én possession dé Cette Charge, l'écueil ordinaire dé ceux qui vouloient la soutenir avec hauteur, que suivant sa fermeté naturelle, & le désir qu'il avoit d'éprouver íés forces, il proposa la Loi Agraria, le sujet éternel des Divisions des Pères & des Plébéiens, du Sénat & du Peuple, des Riches & des Pauvres; niais, il la leur proposa d'abord avec sa douceur ordinaire, comme une Loi dont l'éxécution dèvoit être le prémier soin de ceux qui aimoient la Patrie.C'est cette Lói Agraria, si fameuse parmi les Romains, qu'il faut que je faslè ici bien connoître; puis qu'elle une des es fentíelles de la connoislànce de l'Histoíre Romaine, & qu'elle fut le grand prétexte des Révolutions que j'écris.C'étoit un ancien Usage parmi les Romains, lors qu'ils avoient vaincus quelques Peuples voisins, de leur ôter une partie de leurs Terres,dont une moitié se vendoit pour indemniser la République des frais de la Guerre, & l'autre moitié se réunissent au Domainé public, & se donnoit sous une très petite Pension aux Pauvres Citoyen* qui n'avoient point de Bien ni d'Héritage; & c'étoit ipeu près ce qu'on apelle aujourd'hui donner a nouveau Bail fous une Censé.Cette Coutume étoit d'autant plus louable, qu'elle baiuiisspit absolument l'extrême Pauvreté de la République, & que tous les Cito-. yens se ^rouvoient posséder quelques Biens , & quelques Fonds, qui les rendoient soigneux de sa conservation. L'Avarice des Riches ne laisíà pas régner long-tems cette Coutume, fans tâcher à lui donner atteinte; & l'avidité de posséder plus de Biens fit, que prétextans le Bien-public, & le profit du Domaine, ils haussèrent les Censés & les Pensions, & les haussèrent si fort & Ciexcessivement, que les- Pauvres ne pouvans faire là condition aussi bonne, le* Terres leur furent données, & les Pauvres se trouvèrent privez de cette espéce de Ferme, qui faisoit tout leur Bien.II est aisé de juger que cela causa d'abord de grands Tumultes, & que la multitude des Pauvres Citoyens, qu'on dépouillá d'un Bien 2u'ils regardoient cornme leur Héritage, caui des Troubles considérables, & un espèce E » deSédition.' Aussi, les Tribuns du Peuple, jaloux de* Droits de ce dernier Ordre, & vouians remédier aux inconvéniens qu'une pareille avidité des Riches feroit naître infailliblement, après avoir harangué publiquement fur les Desordres qui régnoient, firent une Loi, par laquelle nul Citoyen Romain ne pouroit posséder au delà de cinq cens Arpens de Terre de celles qui étoient réunies au Domaine, & données fous une Censé par la République.' Cette Loi, juste s'il en fut jamais, passa avec les Acclamations du Peuple, & au grand chagrin des Riches, qui furent pour le coup obligés de céder à la Puissance des Tribuns, qui pour lors éxerçoient une Juridiction toute puissante. La Loi eût refret qu'on s'étoit proposé : les Terres furent distribuées avec ordre par des personnes commises par le Peuple; &, pendant quelque tems, les choses restèrent assez paisiblement en cet état.Mais, dans la fuite, les Riches, ne pouvans contenir leur avarice, trouvèrent le secret de se servir de personnes empruntées, pour prendre fous leurs noms toutes les Terres à rente: & cette Adresse ne pouvoit pas manquer de réussir, puis qu'ils prenoient foin de gagner les Commissaires, par des présens, ou par des services; & ainsi, leurs personnes supposées étoient toûjours préférées à toutes les autres. Cet Abus, quelque grand qu'il fût, étoít cependant toléré; parceque la Loi n'étoit point enfreinte, qu'elle paroissoit toûjours réellement observée, & qu'on ne devoit pas supposer que des Commissaires, choisis avecdistinction par le Peuple, fassent assez lâches pour se laisser séduire Mais enfin, l'insolence des Riches fut poussée jusqu'au point de ne plus faire de mistere de cette supposition, qu'ils dévoient cacher avec foin. Personne n'ignorait plus quels étoient les véritables Possesseurs des Terres
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Note #240 |
by
Yann
27/02/2013 • 00:10
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Toutes mes félicitations pour ce site. j'apprécie vraiment de vous visiter!
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Note #239 |
by
ora_ito
25/02/2013 • 15:16
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Super site moi aussi j'adore !
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